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Spectacle – Ex-Vivo

31 janvier - 20h00 - 21h00

Du 31 janvier au 3 février à 20h
Chorégraphie par Pascal Neyron, du collectif Budge !

Après une première création, intitulée In situ, où les différentes partitions de chaque danseur étaient « activées » via une application pour smartphone, interrogeant la place de l’art et des artistes dans un futur connecté, le chorégraphe Pascal Neyron se lance dans une seconde création qui allie à nouveau technologie et danse, afin de confronter les analogies entre robot et Humain, entre courant électrique et biomécanique. Cette fois, la frontière sera d’autant plus ténue que les corps, eux-mêmes, pourront être déviés de leur trajectoire chorégraphique par une impulsion Ex vivo…

« Notre humanité originelle est-elle intacte si nous laissons à une intervention extérieure le pouvoir d’interférer et d’influer sur nos mouvements et nos déplacements corporels ? »

Ex vivo s’inspire des similitudes entre les signaux électriques et les influx nerveux. Tout mouvement part d’une impulsion envoyée par notre cerveau vers nos muscles. Par la mise en abyme de ces deux systèmes de transmission, qui en l’occurrence vont agir l’un sur l’autre par antagonisme, le chorégraphe Pascal Neyron souhaite proposer une critique de nos modes de consommation, de l’industrialisation et de son impact sur notre quotidien. Mais aussi de notre façon de percevoir et comprendre notre propre corps, tout en interrogeant notre futur en tant qu’être humains.

Les danseurs seront physiquement soumis à de légères impulsions électriques – non douloureuses et sans danger ! -, au moyen de patchs d’électrostimulation, fixés sur leurs corps à des points stratégiques. Ils devront s’adapter progressivement à ces stimuli externes qui, en entravant ou en bloquant certains de leurs mouvements, modifieront leur danse de manière aléatoire.

La technologie d’électrostimulation, ou électro-myostimulation – EMS, employée par le chorégraphe, consiste à provoquer artificiellement une contraction musculaire au moyen d’impulsions électriques. Impulsions qui sont générées par un appareil et transmises par l’intermédiaire d’électrodes appliquées directement sur la peau des danseurs, au niveau des muscles ciblés. Par l’intrusion de cet élément perturbateur dans l’exécution des mouvements chorégraphiques (devenant de fait alternativement mouvements volontaires puis involontaires), Pascal Neyron souhaite mettre en évidence la « machine humaine » qui implique à la fois corps et cerveau.

Les interprètes devront progressivement s’adapter à ces nouveaux stimulus extérieurs, hors de leur volonté, et par conséquent extra-volontaires… Comme si deux entités, l’une mécanique et externe, l’autre physiologique et interne, se disputaient le contrôle de leurs corps.

 

Pascal NEYRON

Directeur artistique et chorégraphe

Né en France en 1993, Pascal Neyron a étudié la danse classique au Conservatoire National dans la région de Lyon dans le but d’intégrer le Conservatoire National Supérieur de danse d’Avignon. Il a rejoint par la suite, le Centre de formation danseur de Biarritz. Puis, pour finir sa formation, il a dansé au sein du Ballet Junior de Genève durant deux années.

En tant que professionnel, il a dansé dans Le Cantique des cantiques sur une chorégraphie de Agnès Bonfils, il s’est produit avec le Ballet de Biarritz dirigé par Thierry Malandain, comme interprète notamment dans la pièce François d’Assise. À la fin 2015, il danse dans la pièce d’Olivier Dubois Sound of Music, sous la direction de l’artiste et performeur suisse Jan Duyvendak. Il travaille aussi en parallèle avec la Compagnie Artistas Inflammables basée à Madrid pour laquelle il reprend un duo de Fernando Carrion.

En Septembre 2018, il intègre la Cie Alias, dirigée par Guilherme Botelho pour une reprise de rôle dans Antes, ainsi que pour la performance 0.5/00, pièces présentées à Londrina, Fortaleza, et Recife au Brésil. En 2019, il crée sa première pièce In situ qui est sélectionnée dans les projets nationaux lors de la Fête de la Danse Suisse, par le Festival Electron, la Fête de la musique 2019, ou encore “Les Chorégraphiques” à l’Oriental Vevey.

Il danse aussi pour la compagnie Le Lokart dans la pièce White light de Mehdi Berdai, et pour Agneta et Cie dans la pièce Part de Sarah Waelchi.

 

Alizée SOURBÉ

Interprète

Née en France, Alizée s’est formée auprès de la Cie CobosMika en Espagne à Palamos. Elle intègre par la suite le Ballet junior de Genève durant deux années. Elle a pu travailler des pièces reconnues et rencontrer des chorégraphes tels Sharon Eyal, Hofesh Shechter, Barak Marschall, Roy Assaf, Kaori Ito, Cindy van Acker et Jozseph Trefeli…

Elle danse pour le chorégraphe Foofwa d’Imobilité depuis 2016, notamment pour le projet intitulé In/Utile: Incorporer. Elle est aussi à l’affiche du film Dyade aux côtés de Filbert Tologo, dont la première a eu lieu à l’ADC-Genève, en novembre 2018. Artiste pluridisciplinaire, elle danse également aux côtés de la compagnie de théâtre Ingood basée à Lausanne, au Festival OFF d’Avignon 2017, et fort probablement sur un nouveau projet en 2019.

Entre danse et design, elle signe sa première pièce Bashfulness en 2016, en collaboration avec Benoit Ecoiffier. Et présentera bientôt sa prochaine création C à n d i. Elle a également été le visage pour l’affiche de la saison 2017 – 2018 de la Comédie de Genève. En 2019, elle participe à la pièce Dancewalk – Rétrosperspective de Foofwa d’Imobilité, présentée à l’international notamment en Inde, au Burkina Fasso, ou en Russie….

En 2022, elle crée sa compagnie Bleue pour laquel elle chorégraphie pour sa première pièce Mesure, ainsis que pour le projet Accords tout au long de l’année sur la plaine de Plainpalais à Genève.

 

Louis BOUREL GERMAIN

Interprète

Né en 1998 à Rouen. Il commence la danse très tôt au conservatoire régional de Rouen dont il sortira avec le diplôme d’études chorégraphiques. En 2015, il rejoint le ballet de junior de Genève, sous la direction de Patrice Delay et Sean Wood, où il a l’occasion d’expérimenter différents univers à travers des pièces créées par différents chorégraphes, tels Olivier Dubois, Barack Marshall, Angelin Prejlocaj ou encore Thomas Hauert. En juillet 2017, il intègre la Cie Alias de Guilherme Botelho pour la pièce Sideways Rain. Puis il participe à la création de Contre-Monde présentée au Théâtre Forum Meyrin, en octobre 2017. Avec Alias, il effectue également des tournées internationales avec les pièces Islands, Antes et 0.5/00. En 2019, il intègre la compagnie Budge pour la pièce In situ présentée aux Festival Electron, à la Fête de la Danse Suisse, aux Chorégraphiques de Vevey, ainsi que la Fête de la musique de Genève.

Il intègre aussi la Cie Pipoka dirigée par Alex Landa Aguirreche pour la pièce Origami landscape qui sera présentée en France et en Suisse. En 2022, il rejoint la compagnie Prototype status de Jasmine Morand pour la pièce Lumen et Mire. Il rejoint aussi la compagnie Cie Philippe Saire pour une reprise du spectacle Hocus Pocus.

Détails

Date :
31 janvier
Heure :
20h00 - 21h00
Catégorie d’Évènement:

Organisateur

L’étincelle – MQJ
Phone
+41225452020
Voir le site Organisateur

Lieu

L’étincelle

Du 31 janvier au 3 février à 20h
Chorégraphie par Pascal Neyron, du collectif Budge !

Après une première création, intitulée In situ, où les différentes partitions de chaque danseur étaient « activées » via une application pour smartphone, interrogeant la place de l’art et des artistes dans un futur connecté, le chorégraphe Pascal Neyron se lance dans une seconde création qui allie à nouveau technologie et danse, afin de confronter les analogies entre robot et Humain, entre courant électrique et biomécanique. Cette fois, la frontière sera d’autant plus ténue que les corps, eux-mêmes, pourront être déviés de leur trajectoire chorégraphique par une impulsion Ex vivo…

« Notre humanité originelle est-elle intacte si nous laissons à une intervention extérieure le pouvoir d’interférer et d’influer sur nos mouvements et nos déplacements corporels ? »

Ex vivo s’inspire des similitudes entre les signaux électriques et les influx nerveux. Tout mouvement part d’une impulsion envoyée par notre cerveau vers nos muscles. Par la mise en abyme de ces deux systèmes de transmission, qui en l’occurrence vont agir l’un sur l’autre par antagonisme, le chorégraphe Pascal Neyron souhaite proposer une critique de nos modes de consommation, de l’industrialisation et de son impact sur notre quotidien. Mais aussi de notre façon de percevoir et comprendre notre propre corps, tout en interrogeant notre futur en tant qu’être humains.

Les danseurs seront physiquement soumis à de légères impulsions électriques – non douloureuses et sans danger ! -, au moyen de patchs d’électrostimulation, fixés sur leurs corps à des points stratégiques. Ils devront s’adapter progressivement à ces stimuli externes qui, en entravant ou en bloquant certains de leurs mouvements, modifieront leur danse de manière aléatoire.

La technologie d’électrostimulation, ou électro-myostimulation – EMS, employée par le chorégraphe, consiste à provoquer artificiellement une contraction musculaire au moyen d’impulsions électriques. Impulsions qui sont générées par un appareil et transmises par l’intermédiaire d’électrodes appliquées directement sur la peau des danseurs, au niveau des muscles ciblés. Par l’intrusion de cet élément perturbateur dans l’exécution des mouvements chorégraphiques (devenant de fait alternativement mouvements volontaires puis involontaires), Pascal Neyron souhaite mettre en évidence la « machine humaine » qui implique à la fois corps et cerveau.

Les interprètes devront progressivement s’adapter à ces nouveaux stimulus extérieurs, hors de leur volonté, et par conséquent extra-volontaires… Comme si deux entités, l’une mécanique et externe, l’autre physiologique et interne, se disputaient le contrôle de leurs corps.

 

Pascal NEYRON

Directeur artistique et chorégraphe

Né en France en 1993, Pascal Neyron a étudié la danse classique au Conservatoire National dans la région de Lyon dans le but d’intégrer le Conservatoire National Supérieur de danse d’Avignon. Il a rejoint par la suite, le Centre de formation danseur de Biarritz. Puis, pour finir sa formation, il a dansé au sein du Ballet Junior de Genève durant deux années.

En tant que professionnel, il a dansé dans Le Cantique des cantiques sur une chorégraphie de Agnès Bonfils, il s’est produit avec le Ballet de Biarritz dirigé par Thierry Malandain, comme interprète notamment dans la pièce François d’Assise. À la fin 2015, il danse dans la pièce d’Olivier Dubois Sound of Music, sous la direction de l’artiste et performeur suisse Jan Duyvendak. Il travaille aussi en parallèle avec la Compagnie Artistas Inflammables basée à Madrid pour laquelle il reprend un duo de Fernando Carrion.

En Septembre 2018, il intègre la Cie Alias, dirigée par Guilherme Botelho pour une reprise de rôle dans Antes, ainsi que pour la performance 0.5/00, pièces présentées à Londrina, Fortaleza, et Recife au Brésil. En 2019, il crée sa première pièce In situ qui est sélectionnée dans les projets nationaux lors de la Fête de la Danse Suisse, par le Festival Electron, la Fête de la musique 2019, ou encore “Les Chorégraphiques” à l’Oriental Vevey.

Il danse aussi pour la compagnie Le Lokart dans la pièce White light de Mehdi Berdai, et pour Agneta et Cie dans la pièce Part de Sarah Waelchi.

 

Alizée SOURBÉ

Interprète

Née en France, Alizée s’est formée auprès de la Cie CobosMika en Espagne à Palamos. Elle intègre par la suite le Ballet junior de Genève durant deux années. Elle a pu travailler des pièces reconnues et rencontrer des chorégraphes tels Sharon Eyal, Hofesh Shechter, Barak Marschall, Roy Assaf, Kaori Ito, Cindy van Acker et Jozseph Trefeli…

Elle danse pour le chorégraphe Foofwa d’Imobilité depuis 2016, notamment pour le projet intitulé In/Utile: Incorporer. Elle est aussi à l’affiche du film Dyade aux côtés de Filbert Tologo, dont la première a eu lieu à l’ADC-Genève, en novembre 2018. Artiste pluridisciplinaire, elle danse également aux côtés de la compagnie de théâtre Ingood basée à Lausanne, au Festival OFF d’Avignon 2017, et fort probablement sur un nouveau projet en 2019.

Entre danse et design, elle signe sa première pièce Bashfulness en 2016, en collaboration avec Benoit Ecoiffier. Et présentera bientôt sa prochaine création C à n d i. Elle a également été le visage pour l’affiche de la saison 2017 – 2018 de la Comédie de Genève. En 2019, elle participe à la pièce Dancewalk – Rétrosperspective de Foofwa d’Imobilité, présentée à l’international notamment en Inde, au Burkina Fasso, ou en Russie….

En 2022, elle crée sa compagnie Bleue pour laquel elle chorégraphie pour sa première pièce Mesure, ainsis que pour le projet Accords tout au long de l’année sur la plaine de Plainpalais à Genève.

 

Louis BOUREL GERMAIN

Interprète

Né en 1998 à Rouen. Il commence la danse très tôt au conservatoire régional de Rouen dont il sortira avec le diplôme d’études chorégraphiques. En 2015, il rejoint le ballet de junior de Genève, sous la direction de Patrice Delay et Sean Wood, où il a l’occasion d’expérimenter différents univers à travers des pièces créées par différents chorégraphes, tels Olivier Dubois, Barack Marshall, Angelin Prejlocaj ou encore Thomas Hauert. En juillet 2017, il intègre la Cie Alias de Guilherme Botelho pour la pièce Sideways Rain. Puis il participe à la création de Contre-Monde présentée au Théâtre Forum Meyrin, en octobre 2017. Avec Alias, il effectue également des tournées internationales avec les pièces Islands, Antes et 0.5/00. En 2019, il intègre la compagnie Budge pour la pièce In situ présentée aux Festival Electron, à la Fête de la Danse Suisse, aux Chorégraphiques de Vevey, ainsi que la Fête de la musique de Genève.

Il intègre aussi la Cie Pipoka dirigée par Alex Landa Aguirreche pour la pièce Origami landscape qui sera présentée en France et en Suisse. En 2022, il rejoint la compagnie Prototype status de Jasmine Morand pour la pièce Lumen et Mire. Il rejoint aussi la compagnie Cie Philippe Saire pour une reprise du spectacle Hocus Pocus.

Détails

Date :
31 janvier
Heure :
20h00 - 21h00
Catégorie d’Évènement:

Organisateur

L’étincelle – MQJ
Phone
+41225452020
Voir le site Organisateur

Lieu

L’étincelle

Du 31 janvier au 3 février à 20h
Chorégraphie par Pascal Neyron, du collectif Budge !

Après une première création, intitulée In situ, où les différentes partitions de chaque danseur étaient « activées » via une application pour smartphone, interrogeant la place de l’art et des artistes dans un futur connecté, le chorégraphe Pascal Neyron se lance dans une seconde création qui allie à nouveau technologie et danse, afin de confronter les analogies entre robot et Humain, entre courant électrique et biomécanique. Cette fois, la frontière sera d’autant plus ténue que les corps, eux-mêmes, pourront être déviés de leur trajectoire chorégraphique par une impulsion Ex vivo…

« Notre humanité originelle est-elle intacte si nous laissons à une intervention extérieure le pouvoir d’interférer et d’influer sur nos mouvements et nos déplacements corporels ? »

Ex vivo s’inspire des similitudes entre les signaux électriques et les influx nerveux. Tout mouvement part d’une impulsion envoyée par notre cerveau vers nos muscles. Par la mise en abyme de ces deux systèmes de transmission, qui en l’occurrence vont agir l’un sur l’autre par antagonisme, le chorégraphe Pascal Neyron souhaite proposer une critique de nos modes de consommation, de l’industrialisation et de son impact sur notre quotidien. Mais aussi de notre façon de percevoir et comprendre notre propre corps, tout en interrogeant notre futur en tant qu’être humains.

Les danseurs seront physiquement soumis à de légères impulsions électriques – non douloureuses et sans danger ! -, au moyen de patchs d’électrostimulation, fixés sur leurs corps à des points stratégiques. Ils devront s’adapter progressivement à ces stimuli externes qui, en entravant ou en bloquant certains de leurs mouvements, modifieront leur danse de manière aléatoire.

La technologie d’électrostimulation, ou électro-myostimulation – EMS, employée par le chorégraphe, consiste à provoquer artificiellement une contraction musculaire au moyen d’impulsions électriques. Impulsions qui sont générées par un appareil et transmises par l’intermédiaire d’électrodes appliquées directement sur la peau des danseurs, au niveau des muscles ciblés. Par l’intrusion de cet élément perturbateur dans l’exécution des mouvements chorégraphiques (devenant de fait alternativement mouvements volontaires puis involontaires), Pascal Neyron souhaite mettre en évidence la « machine humaine » qui implique à la fois corps et cerveau.

Les interprètes devront progressivement s’adapter à ces nouveaux stimulus extérieurs, hors de leur volonté, et par conséquent extra-volontaires… Comme si deux entités, l’une mécanique et externe, l’autre physiologique et interne, se disputaient le contrôle de leurs corps.

 

Pascal NEYRON

Directeur artistique et chorégraphe

Né en France en 1993, Pascal Neyron a étudié la danse classique au Conservatoire National dans la région de Lyon dans le but d’intégrer le Conservatoire National Supérieur de danse d’Avignon. Il a rejoint par la suite, le Centre de formation danseur de Biarritz. Puis, pour finir sa formation, il a dansé au sein du Ballet Junior de Genève durant deux années.

En tant que professionnel, il a dansé dans Le Cantique des cantiques sur une chorégraphie de Agnès Bonfils, il s’est produit avec le Ballet de Biarritz dirigé par Thierry Malandain, comme interprète notamment dans la pièce François d’Assise. À la fin 2015, il danse dans la pièce d’Olivier Dubois Sound of Music, sous la direction de l’artiste et performeur suisse Jan Duyvendak. Il travaille aussi en parallèle avec la Compagnie Artistas Inflammables basée à Madrid pour laquelle il reprend un duo de Fernando Carrion.

En Septembre 2018, il intègre la Cie Alias, dirigée par Guilherme Botelho pour une reprise de rôle dans Antes, ainsi que pour la performance 0.5/00, pièces présentées à Londrina, Fortaleza, et Recife au Brésil. En 2019, il crée sa première pièce In situ qui est sélectionnée dans les projets nationaux lors de la Fête de la Danse Suisse, par le Festival Electron, la Fête de la musique 2019, ou encore “Les Chorégraphiques” à l’Oriental Vevey.

Il danse aussi pour la compagnie Le Lokart dans la pièce White light de Mehdi Berdai, et pour Agneta et Cie dans la pièce Part de Sarah Waelchi.

 

Alizée SOURBÉ

Interprète

Née en France, Alizée s’est formée auprès de la Cie CobosMika en Espagne à Palamos. Elle intègre par la suite le Ballet junior de Genève durant deux années. Elle a pu travailler des pièces reconnues et rencontrer des chorégraphes tels Sharon Eyal, Hofesh Shechter, Barak Marschall, Roy Assaf, Kaori Ito, Cindy van Acker et Jozseph Trefeli…

Elle danse pour le chorégraphe Foofwa d’Imobilité depuis 2016, notamment pour le projet intitulé In/Utile: Incorporer. Elle est aussi à l’affiche du film Dyade aux côtés de Filbert Tologo, dont la première a eu lieu à l’ADC-Genève, en novembre 2018. Artiste pluridisciplinaire, elle danse également aux côtés de la compagnie de théâtre Ingood basée à Lausanne, au Festival OFF d’Avignon 2017, et fort probablement sur un nouveau projet en 2019.

Entre danse et design, elle signe sa première pièce Bashfulness en 2016, en collaboration avec Benoit Ecoiffier. Et présentera bientôt sa prochaine création C à n d i. Elle a également été le visage pour l’affiche de la saison 2017 – 2018 de la Comédie de Genève. En 2019, elle participe à la pièce Dancewalk – Rétrosperspective de Foofwa d’Imobilité, présentée à l’international notamment en Inde, au Burkina Fasso, ou en Russie….

En 2022, elle crée sa compagnie Bleue pour laquel elle chorégraphie pour sa première pièce Mesure, ainsis que pour le projet Accords tout au long de l’année sur la plaine de Plainpalais à Genève.

 

Louis BOUREL GERMAIN

Interprète

Né en 1998 à Rouen. Il commence la danse très tôt au conservatoire régional de Rouen dont il sortira avec le diplôme d’études chorégraphiques. En 2015, il rejoint le ballet de junior de Genève, sous la direction de Patrice Delay et Sean Wood, où il a l’occasion d’expérimenter différents univers à travers des pièces créées par différents chorégraphes, tels Olivier Dubois, Barack Marshall, Angelin Prejlocaj ou encore Thomas Hauert. En juillet 2017, il intègre la Cie Alias de Guilherme Botelho pour la pièce Sideways Rain. Puis il participe à la création de Contre-Monde présentée au Théâtre Forum Meyrin, en octobre 2017. Avec Alias, il effectue également des tournées internationales avec les pièces Islands, Antes et 0.5/00. En 2019, il intègre la compagnie Budge pour la pièce In situ présentée aux Festival Electron, à la Fête de la Danse Suisse, aux Chorégraphiques de Vevey, ainsi que la Fête de la musique de Genève.

Il intègre aussi la Cie Pipoka dirigée par Alex Landa Aguirreche pour la pièce Origami landscape qui sera présentée en France et en Suisse. En 2022, il rejoint la compagnie Prototype status de Jasmine Morand pour la pièce Lumen et Mire. Il rejoint aussi la compagnie Cie Philippe Saire pour une reprise du spectacle Hocus Pocus.

Détails

Date :
31 janvier
Heure :
20h00 - 21h00
Catégorie d’Évènement:

Organisateur

L’étincelle – MQJ
Phone
+41225452020
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Lieu

L’étincelle

Du 31 janvier au 3 février à 20h
Chorégraphie par Pascal Neyron, du collectif Budge !

Après une première création, intitulée In situ, où les différentes partitions de chaque danseur étaient « activées » via une application pour smartphone, interrogeant la place de l’art et des artistes dans un futur connecté, le chorégraphe Pascal Neyron se lance dans une seconde création qui allie à nouveau technologie et danse, afin de confronter les analogies entre robot et Humain, entre courant électrique et biomécanique. Cette fois, la frontière sera d’autant plus ténue que les corps, eux-mêmes, pourront être déviés de leur trajectoire chorégraphique par une impulsion Ex vivo…

« Notre humanité originelle est-elle intacte si nous laissons à une intervention extérieure le pouvoir d’interférer et d’influer sur nos mouvements et nos déplacements corporels ? »

Ex vivo s’inspire des similitudes entre les signaux électriques et les influx nerveux. Tout mouvement part d’une impulsion envoyée par notre cerveau vers nos muscles. Par la mise en abyme de ces deux systèmes de transmission, qui en l’occurrence vont agir l’un sur l’autre par antagonisme, le chorégraphe Pascal Neyron souhaite proposer une critique de nos modes de consommation, de l’industrialisation et de son impact sur notre quotidien. Mais aussi de notre façon de percevoir et comprendre notre propre corps, tout en interrogeant notre futur en tant qu’être humains.

Les danseurs seront physiquement soumis à de légères impulsions électriques – non douloureuses et sans danger ! -, au moyen de patchs d’électrostimulation, fixés sur leurs corps à des points stratégiques. Ils devront s’adapter progressivement à ces stimuli externes qui, en entravant ou en bloquant certains de leurs mouvements, modifieront leur danse de manière aléatoire.

La technologie d’électrostimulation, ou électro-myostimulation – EMS, employée par le chorégraphe, consiste à provoquer artificiellement une contraction musculaire au moyen d’impulsions électriques. Impulsions qui sont générées par un appareil et transmises par l’intermédiaire d’électrodes appliquées directement sur la peau des danseurs, au niveau des muscles ciblés. Par l’intrusion de cet élément perturbateur dans l’exécution des mouvements chorégraphiques (devenant de fait alternativement mouvements volontaires puis involontaires), Pascal Neyron souhaite mettre en évidence la « machine humaine » qui implique à la fois corps et cerveau.

Les interprètes devront progressivement s’adapter à ces nouveaux stimulus extérieurs, hors de leur volonté, et par conséquent extra-volontaires… Comme si deux entités, l’une mécanique et externe, l’autre physiologique et interne, se disputaient le contrôle de leurs corps.

 

Pascal NEYRON

Directeur artistique et chorégraphe

Né en France en 1993, Pascal Neyron a étudié la danse classique au Conservatoire National dans la région de Lyon dans le but d’intégrer le Conservatoire National Supérieur de danse d’Avignon. Il a rejoint par la suite, le Centre de formation danseur de Biarritz. Puis, pour finir sa formation, il a dansé au sein du Ballet Junior de Genève durant deux années.

En tant que professionnel, il a dansé dans Le Cantique des cantiques sur une chorégraphie de Agnès Bonfils, il s’est produit avec le Ballet de Biarritz dirigé par Thierry Malandain, comme interprète notamment dans la pièce François d’Assise. À la fin 2015, il danse dans la pièce d’Olivier Dubois Sound of Music, sous la direction de l’artiste et performeur suisse Jan Duyvendak. Il travaille aussi en parallèle avec la Compagnie Artistas Inflammables basée à Madrid pour laquelle il reprend un duo de Fernando Carrion.

En Septembre 2018, il intègre la Cie Alias, dirigée par Guilherme Botelho pour une reprise de rôle dans Antes, ainsi que pour la performance 0.5/00, pièces présentées à Londrina, Fortaleza, et Recife au Brésil. En 2019, il crée sa première pièce In situ qui est sélectionnée dans les projets nationaux lors de la Fête de la Danse Suisse, par le Festival Electron, la Fête de la musique 2019, ou encore “Les Chorégraphiques” à l’Oriental Vevey.

Il danse aussi pour la compagnie Le Lokart dans la pièce White light de Mehdi Berdai, et pour Agneta et Cie dans la pièce Part de Sarah Waelchi.

 

Alizée SOURBÉ

Interprète

Née en France, Alizée s’est formée auprès de la Cie CobosMika en Espagne à Palamos. Elle intègre par la suite le Ballet junior de Genève durant deux années. Elle a pu travailler des pièces reconnues et rencontrer des chorégraphes tels Sharon Eyal, Hofesh Shechter, Barak Marschall, Roy Assaf, Kaori Ito, Cindy van Acker et Jozseph Trefeli…

Elle danse pour le chorégraphe Foofwa d’Imobilité depuis 2016, notamment pour le projet intitulé In/Utile: Incorporer. Elle est aussi à l’affiche du film Dyade aux côtés de Filbert Tologo, dont la première a eu lieu à l’ADC-Genève, en novembre 2018. Artiste pluridisciplinaire, elle danse également aux côtés de la compagnie de théâtre Ingood basée à Lausanne, au Festival OFF d’Avignon 2017, et fort probablement sur un nouveau projet en 2019.

Entre danse et design, elle signe sa première pièce Bashfulness en 2016, en collaboration avec Benoit Ecoiffier. Et présentera bientôt sa prochaine création C à n d i. Elle a également été le visage pour l’affiche de la saison 2017 – 2018 de la Comédie de Genève. En 2019, elle participe à la pièce Dancewalk – Rétrosperspective de Foofwa d’Imobilité, présentée à l’international notamment en Inde, au Burkina Fasso, ou en Russie….

En 2022, elle crée sa compagnie Bleue pour laquel elle chorégraphie pour sa première pièce Mesure, ainsis que pour le projet Accords tout au long de l’année sur la plaine de Plainpalais à Genève.

 

Louis BOUREL GERMAIN

Interprète

Né en 1998 à Rouen. Il commence la danse très tôt au conservatoire régional de Rouen dont il sortira avec le diplôme d’études chorégraphiques. En 2015, il rejoint le ballet de junior de Genève, sous la direction de Patrice Delay et Sean Wood, où il a l’occasion d’expérimenter différents univers à travers des pièces créées par différents chorégraphes, tels Olivier Dubois, Barack Marshall, Angelin Prejlocaj ou encore Thomas Hauert. En juillet 2017, il intègre la Cie Alias de Guilherme Botelho pour la pièce Sideways Rain. Puis il participe à la création de Contre-Monde présentée au Théâtre Forum Meyrin, en octobre 2017. Avec Alias, il effectue également des tournées internationales avec les pièces Islands, Antes et 0.5/00. En 2019, il intègre la compagnie Budge pour la pièce In situ présentée aux Festival Electron, à la Fête de la Danse Suisse, aux Chorégraphiques de Vevey, ainsi que la Fête de la musique de Genève.

Il intègre aussi la Cie Pipoka dirigée par Alex Landa Aguirreche pour la pièce Origami landscape qui sera présentée en France et en Suisse. En 2022, il rejoint la compagnie Prototype status de Jasmine Morand pour la pièce Lumen et Mire. Il rejoint aussi la compagnie Cie Philippe Saire pour une reprise du spectacle Hocus Pocus.

Détails

Date :
31 janvier
Heure :
20h00 - 21h00
Catégorie d’Évènement:

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L’étincelle – MQJ
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